Bellatrix Black

Bellatrix Black

Identité : Nom : Black Prénom : Bellatrix Age : 17 ans Sang : Pur Maison : Serpentard

Caractère :


Bellatrix, la guerrière. Son nom est aussi celui d'une brillante étoile de la constellation d'Orion que l’on nomme également "l'étoile amazone". Le moins que l’on puisse dire, c’est que Cygnus et Druella Black ont choisi avec soin le prénom de leur aînée. Il reflète de façon plutôt fidèle le caractère indépendant, fort et déterminé de la jeune femme. Bellatrix tient aussi des amazones son respect inconditionnel des traditions et des règles établies par les siens. Aussi indépendante soit-elle, elle souscrit avec enthousiasme aux idéaux des Black. La valeur du sang devient ainsi l’un des mécanismes essentiels de son comportement. Le sang d’autrui lui dictera sa façon d’agir. Si elle peut se montrer respectueuse, polie et même aimable envers les héritiers des familles de sang pur, elle traitera les sang mêlés tout autrement, apparaissant bien plus revêche, supérieure et agressive. Mais ce n’est rien en comparaison du sort qu’elle réserve à ceux dont l’ascendance et irrémédiablement moldue. Ceux là ne se verront réserver aucune clémence de sa part et, si elle ne les ignore pas, ce sera pour les rouler dans la boue, les faire plier sous ses caprices. Caprices cruels et inhumains. L’attitude de Bellatrix est ainsi, bien trop souvent inhumaine. Obnubilée par ce qui lui a été inculqué, sur la pureté du sang et sur toutes ses théories selon lesquelles les sorciers de sang pur sont au dessus des autres, Bellatrix met sauvagement en pratique ces enseignements. Personne, à Poudlard, ne saurait lui tenir tête et si, par malheur, quelqu’un le faisait, Bellatrix trouverait mille façons de le faire souffrir et regretter amèrement son courage insensé.

Avec les années, l’esprit de l’aînée des Black s’est fait plus noir. Lorsque quelque chose ou quelqu’un ne lui plait pas, elle n’hésite pas à mettre son sadisme à l’épreuve et mieux vaut ne pas être celui sur lequel s’abattra son courroux. Bellatrix est profondément maléfique, lorsqu’elle se fait mesquine et perverse, mieux vaut ne pas tenter de la raisonner. Il ne peut y avoir de pensée supérieure à la sienne. Elle seule détient la vérité et ce sur tous les sujets. La contredire serait une bravade démesurée. D’autant qu’elle n’attend qu’une infime raison pour jouer de sa colère et mettre à mal autrui. Le mal l’amuse, il n’est qu’un jouet entre ses mains sadiques. La souffrance des autres la nourrit, lui donne le sentiment d’être vivante. Voilà pourquoi elle ne cesse jamais de se choisir des victimes auxquelles elle réservera une sentence féroce, usant de toute son imagination. Bellatrix a toujours eu la folie des grandeurs. Lorsqu’elle se fait tortionnaire, c’est avec le génie et l’adresse d’une véritable artiste. Il faut que les choses soient bien faites, sans quoi cela ne l’amuserait pas. Mieux vaut pas de travail du tout qu’un travail bâclé. Voilà pourquoi elle ne sème jamais le mal à la légère. Elle attend son heure, avec une impatience absolue certes, mais elle fait tout de même en sorte de choisir le bon moment pour frapper. Et lorsqu’elle frappe enfin, rien ne saurait lui résister. Bellatrix est comme un ouragan capricieux qui emporte tout sur son passage. Rien ne reste derrière elle, hormis des ruines et des cadavres.
Mais elle doit se faire violence lorsqu’il s’agit de patienter pour attendre le moment idéal. Or, Bellatrix est d’une impatience peu commune. Elle ne parvient donc pas toujours à se contenir. C’est une passionnée, une fanatique. La patience et la pondération ne sont guère au nombre de ses qualités. Avec elle, c’est la démesure qui est à l’honneur. Voilà pourquoi, après une attente insoutenable, rien ne saurait être épargné.

A Poudlard, elle joue sans vergogne avec la raison de ceux qui l’entourent. Rien n’est plus beau, selon elle, que de la torture psychologique. Rendre une personne folle, par le maniement des mots ou l’application d’un sort approprié, rien ne saurait la régaler davantage. Mais cela ne l’empêche pas de recourir à la torture physique. Elle y prend simplement moins de plaisir . Il est bien plus charmant de voir l’esprit de quelqu’un se briser sous l’effet d’une longue et intensive pression morale.

Acharnée, Bellatrix ne s’arrête que lorsqu’elle a obtenu ce qu’elle désirait. Par chance, il lui arrive de se lasser. C’est ainsi que nombre d’élèves à Poudlard ont conservé l’essentiel de leur intégrité physique et psychologique.
Bellatrix est une éternelle enfant, sous ses allures de femme fatale. Lorsqu’un jouet ne l’amuse plus, elle le jette sans la moindre considération. Il en va ainsi pour ses conquêtes. Elle obtient l’objet de son désir, en profite, l’expose aux yeux de tous comme lui appartenant, l’use puis le jette. Il arrive que certains retiennent plus longuement que d’autres son attention, mais leur fin reste la même. Insensiblement, ils perdent tout intérêt à ses yeux lorsqu’ils ont épuisé toutes leurs ressources ou que les yeux de Bellatrix se sont posés sur un nouvel objet de convoitise.

Enfin, dernier point essentiel de son caractère, l’aînée des Black est égoïste par nature. Il s’avère impossible d’attirer son attention sur une chose qui ne lui serait pas profitable. Ainsi, même lorsqu’elle agit dans l’intérêt de sa famille, c’est en réalité à son propre intérêt qu’elle songe. Lorsqu’elle veille sur ses sœurs, c’est à sa réputation et son intégrité qu’elle pense. Voilà pourquoi, lorsqu’Androméda plonge toute la famille dans l’embarras avec ses aspirations débridées, Bellatrix s’applique d’abord à la raisonner. Lorsque ses mots n’ont plus aucun poids, alors l’aînée rejette toute responsabilité et en vient à nier farouchement sa parenté avec la cadette. De la même façon, Bellatrix protège la benjamine, trop fragile à son goût. Elle fait en sorte que celle-ci demeure sur le droit chemin afin d’éviter que l’opprobre ne souille le nom des Black. En permettant à la famille Black de demeurer immaculée, c’est son avenir qu’elle assure.



Ce que les autres ignorent :


L’esprit de Bellatrix est animé par bon nombre d’ambitions. Mais la plupart d’entre elles ne sont pas secrètes. Deux le sont, bien que relativement banales:
_ Son aspiration la plus basique consiste en son désir, qu’enfin, les moucherons qui l’entourent cessent de lui tenir tête et qu’ils s’achètent un cerveau pour comprendre que jamais, ô grand jamais, Bellatrix ne se ferait avoir.
_ L’aînée des Black rêve d’un monde où seuls les sang purs auraient accès à l’éducation et à un niveau de vie élevée et où les moldus ne seraient que leurs misérables valets, qui ne songeraient à rien d’autre qu’au bien être de leurs maîtres.

Bien que personne n’en aura jamais vent, il arrive à la grande Bellatrix Black d’avoir peur.
_ La vieillesse. Il s’agit là de l’une des plus grandes craintes de la jeune fille. Elle ne veut pas se faner, elle voudrait rester toujours belle et jeune, comme en cet instant. Elle souhaiterait traverser tous les âges et user de son sadisme sans jamais être réduite à taper sur les gens avec sa canne, lorsqu’elle sera trop vieille pour se mouvoir parfaitement seule.
_ La maternité. Bellatrix ne se voit pas entourée de marmots, reléguée au simple rôle de mère. Elle veut avoir une carrière, faire de grandes choses, imposer son nom. Rester au foyer tandis que son mari se fera tranquillement un nom dans le monde des sorciers lui serait insupportable.



Si j’étais...

_un objet : Une batte à clous
_une saison : L’hiver
_un animal : Le Nundu « Considéré par de nombreuses personnes comme l'animal le plus dangereux du monde, le Nundu est un gigantesque léopard, originaire d'Afrique de l'Est, dont le souffle seul entraîne épidémies et mort. Beaucoup de villages ont été ravagés par les Nundus, et on n'a jamais réussi à en neutraliser un sans faire intervenir au moins une centaine de sorciers. »
_une couleur : Le noir
_un endroit : Le cachot n°3
_un oiseau : Un vautour
_un élément : Le feu
_un fruit : Une pomme empoisonnée

Histoire :


« AAAANDROOOMEEEEDAAAAAAAAAA !!! »

C’était la cinquième fois qu’elle criait ce nom. A chaque nouvelle reprise, le Manoir semblait trembler sous les vibrations de la voix sèche et tonitruante. Mais ladite Androméda ne semblait pas vouloir se montrer. Du moins jusqu’à ce que son prénom ne soit hurlé une septième fois. Elle semblait aimer se faire attendre mais cela n’apparaissait pas au goût de celle qui s’était échinée à l’appeler. Le visage blême de celle-ci s’était en effet étiré en un rictus malsain et désapprobateur. Elle laissa Androméda s’assoir en silence sur le sofa, qui trônait au centre de la pièce, avant de finalement siffler:

« Tu en as mis du temps, petite sotte … je veux dire, petite sœur. »

Le sourire de la jeune fille au regard implacable et aux cheveux sombres se fit cynique. Son attitude n’avait rien de celle que l’on pouvait attendre d’une sœur, pourtant cela ne sembla pas troubler la plus jeune. Au lieu de s’en offusquer, celle-ci se contenta en effet de passer une main désinvolte dans ses cheveux, puis rétorqua:

« C’est que je n‘ai pas pour habitude de répondre à tes ordres avec précipitation comme tes larbins à Poudlard. »

Les lèvres de l’aînée tremblèrent avant de se fendre en un sourire empreint d’un dégoût sincère. Le visage fin et ovale de la jeune fille était transporté d’une répulsion aigue. Ses pupilles, déjà noires naturellement, devinrent passablement obscures sous ses paupières lourdement maquillées. Elle s’approcha de sa sœur et, d’une main pleine de mauvaises intentions, lui saisit le menton. Le levant vers elle sans la moindre tendresse, elle déclara d’une voix mièvre et fausse:

« Chère petite sœur … Ta douce beauté n’a d’égal que tes pitoyables aspirations! Je suis au courant, tu sais, de tes petites manigances pour choyer nos elfes. Mais cela s’avère presque dérisoire en comparaison de l’effort sincère que tu dépenses à t’enticher de tous ces détestables souillons, traitres à leur sang ou sang de bourbe !! »

Ces derniers mots avaient été prononcés avec une extrême répugnance et une hostilité parfaitement assumée. L’aînée avait d’ailleurs lâché vigoureusement le menton de sa cadette, la griffant au passage de ses ongles peints en noir. Elle plongeait désormais son regard mesquin dans celui d’Androméda, bien décidée à faire mourir ses espoirs de réponse dans l’œuf. Cela fonctionna, puisque la plus jeune se releva simplement, bousculant au passage sa sœur avant de s’éloigner d’un pas vif.
Bien qu’elle l’exècre et ne la comprenne pas, l’aînée connaissait parfaitement sa sœur. Elle ne la sous-estimait pas. Elle savait bien que si elle était partie sans faire de vague c’était uniquement parce que sa grande sœur n‘aurait attendue que ça. Elle était maligne. Idiote, mais tout de même réfléchie. Elle avait des lubies que son ainée ne comprendrait décidément jamais et ne serait pas prête à cautionner, mais elle en avait tout de même dans la caboche. Cela faisait presque mal à reconnaître.

Par chance, une jeune fille blonde pénétra dans le petit salon et permit à la brune de ne pas trop penser à sa sœur indigne. Celle dont les cheveux étaient aussi clairs que les blés était loin de ressembler aux deux sœurs, pourtant il s’agissait bel et bien de la troisième sœur, la plus jeune. Elle s’arrêta un instant, regardant avec circonspection son ainée qui prenait tranquillement place sur le sofa. Finalement, la brune arqua un sourcil interrogateur et sa jeune sœur lui demanda alors:

« Que s’est-il encore passé avec Androméda, Bellatrix? »

La prénommée Bellatrix prit ses aises sur le sofa avant de laisser un sourire amusé se frayer un chemin sur sa physionomie narquoise. Elle croisa les jambes gracieusement avant de répondre enfin à sa sœur.

« Elle s’évertue encore à mettre nos parents dans une colère noire en se cherchant des amis partout ailleurs que là où ils devraient être. Quand comprendra-t-elle enfin que notre héritage est bien plus précieux que ses propres désirs?! Elle finira déshéritée, je l’ai toujours dit! Cette félonne n’a rien d’une Black! »

Après son majestueux plaidoyer, Bellatrix se releva en douceur et s’approcha de la benjamine. Elle prit sa main dans les siennes avec bien plus de soin qu’elle ne s’était saisie du menton d’Androméda. Son visage prit une teinte affectueuse avec laquelle il n’était pas coutumier.

« Toi, je sais que tu ne me décevra pas Narcissa. Tu as le sens de la famille et de la loyauté. C’est indispensable pour faire prospérer le sang raffiné des Black. Aller, va, maintenant, j’aimerais être seule. »

Narcissa s’exécuta docilement après avoir accordé un sourire bienveillant à son aîné. Bellatrix n’avait pas menti, elle savait Narcissa parfaitement apte à perpétrer la lignée immaculée des Black. Elle la voyait comme la parfaite poulinière, mariée à un époux influent au sang tout aussi pur que celui des Black. Narcissa avait toujours été la plus raisonnable et posée des trois sœurs. Bien que loyale à sa famille, Bellatrix ne se voyait pas enfanter, aussi laissait-elle ce rôle à sa sœur. Elle ferait une bien meilleure mère qu’elle, une parfaite Druella, la réplique conforme de leur génitrice. Alors que l’aînée ressemblait davantage à son père, plus passionnée et activiste. Quant à Androméda, Bella ne savait tout simplement pas à qui elle ressemblait … hormis peut-être à son parjure de cousin. A la simple pensée de cet énergumène, il venait des envies de meurtre à Bellatrix. Mais elle se devait de les réfréner, au moins jusqu’à sa sortie de Poudlard.

Poudlard … Bientôt, Bellatrix entamerait sa septième et dernière année dans cette Ecole de Magie. La jeune Black n’aimait pas ce lieu au point de regretter de le quitter, mais elle savait y avoir passé de belles années. Malheureusement, un an auparavant, on lui avait pris une partie de sa mémoire concernant Poudlard, ou plutôt les liens qu’elle y avait tissé. En effet, suite à un sort ayant mal tourné, et tué au passage les crétins qui l’avaient lancé, tous les élèves de Poudlard s’étaient retrouvés privés de la mémoire de leur relations. Mais contrairement à certains, Bellatrix ne s’était pas laissée abattre. Le passé était le passé, son regard à elle était tourné vers l’avenir. Laissant sans la moindre peine ses anciennes relations derrière elle, la Serpentard s’évertua à se créer de nouveaux liens. D’ailleurs, dans le fond, ses « amis » restèrent plus ou moins les même; Bella n’acceptant dans son cercle que les sang purs dignes d’elle. Elle savait que ce sort ne changeait pas grand-chose pour elle, et pourtant il lui donnait une chance d’améliorer sa vie à Poudlard. La jeune fille fut parmi les premiers à manipuler les élèves inconscients en prétendant qu’elle se souvenait. Bellatrix n’avait jamais été quelqu’un de très aimable, mais le fait que la plupart des élèves de Poudlard l’aient oublié lui permit de se fabriquer une nouvelle réputation. Bien sûr, elle demeura tout aussi mauvaise mais elle le dissimula d’abord aux autres, afin de pouvoir mieux les manipuler et les faire souffrir. Et au fil de ses mauvais tours, elle se trouva bientôt un camarade de jeu en la personne de Rabastan Lestrange. Son nom lui disait vaguement quelque chose, Bellatrix était donc persuadée de l’avoir déjà côtoyé auparavant. Quoiqu’il en soit, il redoublait sans cesse d’ingéniosité dans ses malversations et cela enchantait l’aînée des Black. Mais cette dernière aimait aussi partir seule en croisade face aux faibles et aux souillons. Cela attira bien vite les plus vils sang purs et les plus fervents valets qui l’admiraient tout en la craignant.

« Encore perdue dans de machiavéliques pensées, ma fille? »

Cette remarque extirpa immédiatement Bellatrix de ses « machiavéliques pensées ». Une femme à l’allure altière venait d’apparaître sur le seuil du petit salon. Elle fixait la jeune fille de son habituel regard majestueux. Bellatrix, quant à elle, se réfugia dans un silence presque religieux, qui lui valut un sourire de la part de sa mère. L’un de ses sourires qui peuvent vouloir tout et rien dire à la fois. Druella en avait le secret et son aînée espérait bien se l’approprier un jour. Mais pour l’instant, la question n’était pas de savoir si Bellatrix posséderait un jour ne serait-ce que le quart de sa noblesse.

« Tes sœurs t’attendent. Quand vous serez sur le Chemin de Traverse, surveille bien Andromeda. Et fais un crochet par l’Allée des Embrumes, j’ai quelques articles à te faire acheter. »

Druella agita alors un morceau de papier que Bellatrix saisit quand elle arriva à sa hauteur. Sa génitrice avait toujours eu un étrange pouvoir sur elle. Lorsqu’elle se trouvait en sa présence, l’aînée des Black se sentait comme muselée. Elle ne pouvait faire autrement qu’accéder aux requêtes de sa mère, sans émettre la moindre objection. Druella pouvait bien lui ordonner de se marier sur l’heure avec le fils d’une noble famille qu’elle lui aurait désigné, Bella ne broncherait pas. Pourtant elle ne se voyait pas mariée le moins du monde. Parfois, cette influence que sa mère possédait sur elle faisait frissonner la jeune fille. Dans ces moments là, elle se promettait alors de se défaire du joug de cette femme afin de mener un jour la vie à laquelle elle aspirait, faite d’aventures et de cruautés.




Derrière l’écran :



Pseudo : Criquy
Age : 18 ans
Comment avez-vous découvert le forum ? J’ai un don: celui de m’incruster sur tous vos forum; vous devriez le savoir à force!
Avatar : Minka Kelly <333
Estimation de la présence : Dur de faire une estimation pendant les vacances. Je serais là autant que je le pourrais.
Un commentaire ? Non, tiens donc, comme c'est étrange ... Ah si! Je vais enfin pouvoir me servir de ma batte à clous sans limite!

Oh, merci beaucoup !!

Je tiens quand même à m'excuser, je sais que ma fiche n'est pas extrèmement longue!
( surtout quand je vois celles de certains )
Mais, promis, je me rattraperais en Rps. Que j'ai hâte de vous martyriser!! Miam!