| | | Edeley J. N. Spencer |  |
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Edeley J. N. Spencer
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 |  Sujet: Edeley J. N. Spencer  Mar 21 Juil - 18:25 | |
| Nom : Spencer ? Ceci vous est inconnue ? Ce n'est pas possible... Concentrez vous, Spencer, Spencer... N'est-ce pas un nom hypnotisant ? Ah, cela vous reviens donc enfin, cet homme, cet homme au regard hypnotisant, cet homme qui était une des fiertés du ministère, Spencer ? Oui, c'est bien lui. Famille de sang purs, travaillant au ministère, père de 5 enfants dont notre petit Edeley...
Prénom : Edeley Junior Natan, wouha, ça en fait pour un prénom. Commençons par le commencement, Edeley, c'est loin d'être un nom courant n'est-ce pas ? Pourtant, ce prénom perdure dans la famille Spencer depuis des générations, c'est presque une tradition et un honneur de nommer son fils ainsi. Je vous laisse donc imaginer l'ambiance des repas de famille lorsque quelqu'un appelle un certain Edeley. Junior, parce que son père s'appelait comme lui, je vous rassure, il n'y a pas tant de Edeley que ça, sur une génération, il y en a facilement deux ou trois. Disons que les familles ont une phrase fétiche, bah ici c'est un prénom. Natan, c'est la petite touche de sa mère, qui ne voulait en aucun cas que son fils porte un "prénom aussi laid"... Et voilà, Edeley Junior Natan, l'homme aux multiples prénoms et surnoms...
Age : 17 ans, 17 bananes, 17 bougies, et ceci depuis un certain 6 Septembre.
Sang : Comme dit un peu plus haut, les Spencer sont des sorciers de rangs totalement purs, il n'y eu jamais une seule faille, la magie persiste depuis des générations et des générations. Les mentalités sont dignes des défenseurs de la pureté du sang.
Maison : Serpentard, comme tous les sorciers et sorcières de sa famille avant lui, ce mesquin de première ne fit aucunement exception à la règle. Comme tout le monde avant lui, le choixpeau n'effleura que ses cheveux pour proclamer la maison... Derrière l'écran :Prénom/Pseudo : PixXou
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Dernière édition par Edeley J. N. Spencer le Mer 22 Juil - 23:37, édité 11 fois | |
|  | | Edeley J. N. Spencer
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| | Sujet: Re: Edeley J. N. Spencer Mar 21 Juil - 18:25 | |
|   A propos de... :
Caractère : Depuis sa plus tendre enfance, Edeley est bercé dans un monde de mesquinerie, d'arrogance et de provocation, ainsi que de tradition. Il ne put donc échapper à toutes ces règles. Seulement, il décida de ne pas faire comme les autres membres de sa famille, de ne pas exhiber sa fierté et son arrogance aux yeux de tous. Oui, Edeley, à l'extérieur, est un vrai petit ange, affectif, compréhensif, mais tous ceci n'est que façade. Il faut tout d'abords savoir que le jeune homme est un lunatique sans précédent, changeant d'humeur comme il changerait sa baguette de main (Il est ambidextre), il peut donc faire semblant de vous aimer, mais il suffit qu'un bruit le dérange pour qu'il envoie paitre, parfois, il arrive à contenir son changement d'humeur, devant les personnes qu'il cherche à manipuler. Oui, il n'a pas décider de se faire passer pour un ange par plaisir, grand manipulateur, comme l'est son père, il voit toujours des profits derrière les personnes qu'il rencontre. Il est maitre en matière de manipulation, et doté d'une grande adresse, il sait toujours dire les bonnes choses au bon moment, faire les bons gestes. Manipuler les gens est une seconde nature, peut-être la seule chose qu'il remercie son père de lui avoir transmis. Mais pour savoir manipuler les gens comme il le fait et pour se faire passer pour un ange, il faut donc savoir mentir à la perfection, chose qu'il sait faire sans le moindre problème, et qu'il a appris tout seul, dans son coin, s'exerçant sur ses parents, sa mère ne sachant pas le moins du monde mentir et son père étant loin d'arriver à la cheville de son 5eme enfant. Ayant d'abords touché à la manipulation et au mensonge, il commença très tôt, le jeune homme devant rapidement un égoïste de première, ne pensant qu'à sa petite personne, voyant un profit sur le visage de chaque personne, et plus il grandit, plus il s'enfonce dans son égoïsme. Il faut savoir que le jeune homme ne supporte pas l'hypocrisie, il ne l'est pas du tout et il est donc doté d'une grande franchise, cependant peu susceptible, il ne supporte pas qu'on le critique dans son dos. Même si il est très franc, il saura modéré ses paroles pour ne pas blesser la personne en face de lui et donc continuer de profiter d'elle. Se faisant passer pour un ange, personne ne soupçonne tout ces traits de caractère ainsi que son côté provocateur et narcissique, ayant toujours vécu dans cet état d'esprit, il ne peut que l'être lui aussi. Mais il se modère, pour garder ses proies dans son piège, mais les personnes dont il ne voit aucun profits ne peuvent échapper à son côté narcissique, poignant, toujours les mots justes, et à sa provocation fine et raffinée, toujours faite poliment mais tellement arrogante. Poli, il vous fera toujours comprendre dans le calme, si vous faites partis des personnes "à profit personnel", qu'il veut toujours avoir le dernier mot, et persévérant, il ne lâchera jamais le morceau tant qu'il ne gagnera pas la partie. Oui, il obtient toujours ce qu'il veut, pire que têtu, une chose qu'il a hérité de sa mère, comme son sa ruse et son côté fourbe. En plus de son adresse, il est très rusé, dénichant toujours le stratagème approprié pour vous faire tomber dans ses filets. En plus de tout ça, il est très intelligent, n'essayez donc pas de l'avoir à son propre jeux, c'est impossible...
Son enfance n'est pas très heureuse, pourtant, on aurait pu le croire, le garçon tant attendu des parents Spencer, il a quatre sœur, la prospérité de la famille à sa naissance. Pourtant il est bien celui qu'aime le moins ses parents, ce qui lui a longtemps valut l'isolement dans un placard ou dans sa chambre. Malheureusement, cela réveilla en lui un grand stresse, c'est pour cela qu'il est maintenant en proie à des crises d'angoisses soudaine ou des crises de nerf, le pire que l'on puisse redouter chez lui. D'une grande violence, cela aussi dû à son isolement, il est incapable à arrêter lors de ses crises, il n'hésitera pas à vous frapper si vous tentez de l'aider.
Passons à des choses peut-être plus positive, en tout cas rien qui ne ressemble à de l'arrogance ou de la manipulation. Il faut savoir qu'il est extrêmement indépendant, il a beau montrer à tout le monde une grande affection, un côté très sociable, baratiner les gens qu'il a besoin de leur présence, en réalité, il s'en moque, il peut bien rester seul qu'il ne va pas broncher. Au contraire, il peut se reposer, arrêter de jouer un rôle, se détendre. Il est aussi très observateur (C'est un bon point dite, c'est un bon point ? Il n'en a pas beaucoup, je sais...), il verra le détail qui tue du premier regard, remarqua chaque manie, dénichera vos pensées sur vos traits de visage... Maintenant, je vais vous donner deux conseils pour tenter, et je dis bien tenter, de l'amadouer. Une de ses plus grandes faiblesses est sa gourmandise, oh oui, sa grande gourmandise ! Il est friand de tout et n'importe quoi, oh oui, vous lui ferrait gober n'importe quoi... Mais si vous voulez être sûr de votre coup, apporter lui du chocolat ! Sinon, sa deuxième faiblesse, qui est loin d'entre être une, c'est son adoration de la pluie, il en est fan, il se jetterait sous la moindre averse si il le pouvait. Il adore sentir les gouttes de pluie couler le long de son corps. Dernier petit point, qui n'est pas tellement positif, c'est qu'il n'a aucun humour, pas la moindre trace, il rigole, bien sûr, mais n'essayez pas de lui sortir une blague pour qu'il rigole, ça ne sert à rien, la plupart du temps, il ne voit pas l'utilité d'une chose aussi futile, et malgré son intelligence, il ne comprend la blague qu'une fois sur deux...
Et voilà, je pense avoir dit une bonne partie de son caractère, vous aurez donc compris qu'il est en réalité très instable mais surtout très complexe...
Ce que les autres ignorent : On pourrait facilement dire que les autres l'ignore lui. Car finalement, il ne se montre pas réellement, il reste le petit ange amadouant les autres. Ne pensez jamais le connaître, il laisse rarement de petits indices sur sa vraie personnalité...
Les autres ignorent également le fait que sa famille le rejette, qu'il est le plus détesté et rejeté des Spencer, car il sait mentir, et ne racontera jamais qu'il est rejeté par le grand Edeley Spencer, son père, et encore moins qu'il est rejeté d'une famille de sang pur.
Un dernier petit secret ? Il est GAI ! Non, non, je rigole, bien entendue. Chose qu'il cache à tout le monde, il n'a jamais eu la moindre aventure, avec la moindre fille (Oui, il est n'a jamais couché non plus, dingue non ?) Les filles lui courent après, il les drague, mais il n'ose pas les toucher ! Vous le verrez vous faire les yeux doux, vous l'entendrez vous murmurer des choses à l'oreille, mais il n'osera jamais vous touchez. C'est marrant non ? Car, oui, c'est quand même un grand tombeur...
 
Si j’étais...
_un objet : Un miroir, car le miroir ne fait que nous refléter, il ne décrit en aucun cas l'intérieur, les sentiments, les pensées, les envies, il ne fait que donner l'image de notre corps, ce que l'on veut bien montrer aux autres...
_une saison : L'automne, pour la raison simple et caché que c'est la saison que déteste le plus son père. Tout cela pour de la provocation en fin d'été... Mais il y a pris goût, la pluie est le moyen le plus sûr de le calmer...
_un plat : La mousse au chocolat, ceci peut être considérer comme un plat ? Pourquoi la mousse au chocolat ? Parce que Edeley est un grand gourmand, et que le chocolat est l'une de ses faiblesses...
_un animal : Un renard, pour la ruse. Ce jeune homme est l'incarnation même de la ruse, quand il veut quelque chose, rien ne l'arrête, et la ruse est toujours l'une de ses armes pour parvenir à ses fins.
_une couleur : Le vert, pourquoi le vert ? Car depuis son enfance, on lui bourre le crâne sur Serpentard, et loin de se lasser, cette couleur ne l'a jamais dégoutée.
_un endroit : Le terrain de Quidditch, car c'est toujours ici qu'il donne libre cours à son vrai caractère, sa violence, son côté mauvais joueur. Il faut donc avouer que c'est un joueur très persévérant, qui n'a pas peur des autres. Ce lieux est celui où il vient se reposer, se détendre.
_un oiseau : Un vautour, surement pour le plaisir de manger de la chair, mais aussi pour le côté imposant que est clairement visible chez cet animal, franchement, je n'irais pas m'y pincer les doigts...
_un élément : L'eau, car l'eau c'est la pluie, et la pluie est le calmant le plus efficace pour Natan. Crier lui qu'il pleut dehors et il sera déjà au milieu du parc en train de se laisser tremper.
_un fruit : Une tomate, parce que la tomate porte toujours à confusion. Est-un fruit ou un légume ? Essayez de résonner comme si Edeley était une tomate... Est-ce vraiment un ange ou un vilain garçon ?
Dernière édition par Edeley J. N. Spencer le Mer 22 Juil - 11:40, édité 10 fois | |
| | | | Edeley J. N. Spencer
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| | Sujet: Re: Edeley J. N. Spencer Mar 21 Juil - 18:26 | |
| Histoire :
Chapitre I ; L'enfant tellement attendu...
Père : « Voyons Edélia, tout ceci est idiot, pourquoi le savoir si tard ?! »
Mère : « Cela fait tellement longtemps que nous voulons un garçon, c'est peut-être la bonne fois, je préfère attendre... »
Père : « Mais voyons, c'est n'importe quoi ! Je veux savoir tout de suite ! »
Mère : « Si ce n'est pas un garçon, nous serons déçus, autant l'être au dernier moment tu ne crois pas ? »
Le ventre rond, la femme regarda son ventre avec une certaine adoration. La famille Spencer, Edeley, le père, Edélia, la mère, et les quatre petites filles étaient dans le salon. Une certaine réunion de famille, le portrait du père d'Edeley trônait au dessus de la grande cheminé blanche, et il regardait, sceptique, la scène qui s'offrait devant lui. Pour continuer la ligné des Spencer, Edeley se devait d'avoir un fils, certes, il avait des cousins portant le nom de Spencer, mais lui était fils unique et son père lui avait sermonné l'esprit en lui répétant qu'il se devait d'avoir un fils. Depuis 20 ans, il essayait de continuer la génération, avec un homme, malheureusement, leurs quatre premières tentatives avaient donné quatre magnifiques petites filles, et il avait déjà mis 11 ans pour avoir la première. La plus âgée, était une grande fille de 9 ans, elle avait de beaux yeux bleus, de longs cheveux blonds, lisses, c'était sans contexte une très belle fille, son mari était déjà tout trouvé, un petit gringalet de 13 ans, sorcier, d'une famille prestigieuse de sang pur. Cette sœur était la plus douce, la plus gentille, elle respectait ses parents, elle n'oserait contesté leur choix, son prénom était Renesmée. La deuxième n'avait même pas 8 ans, elle était tout aussi grande que sa sœur, peut-être on aurait pu penser qu'elle était jumelle, mais la différence était qu'elle avait des yeux couleur noisette, elle était calme, intelligente, son père voyait en elle un grand avenir au ministère, elle se nommait Keilan. La troisième avait 6 ans, mais déjà, le calme et la douceur de ses grandes sœurs étaient moins présent chez elle, seulement, elle, elle était craintive, stressée, peureuse du monde extérieur, toujours dans les pattes de sa mère, c'est pour cela qu'elle en était la chouchoute, elle était encore petite, ses cheveux bruns et bouclés coupés au carré et tombant sur ses épaules, ses yeux verts contrastant parfaitement avec ses cheveux. C'était une des seules à avoir hérité des yeux de son père, les yeux marrons de Keilan étaient un mystère car sa mère avait des yeux bleus, et cette petite peureuse s'appelait Embry. Maintenant, la petite dernière, pour l'instant la moins aimée de son père, la chouchoute de son père était sans contexte Keilan. Jerichow était arrogante, méchante, fière, elle se comportait déjà comme une garce alors qu'elle n'avait que 4 ans, réussissant toujours à amadouer les personnes extérieurs à la famille, piquant les jouets de ses camarades de classe. Elle avait de longs cheveux ondulés bruns, voir châtains, lui tombant de le bas du dos, ses yeux d'un bleu électrique, elle était assez grande pour son âge, elle était belle, tout autant que la plus grande de ses sœurs, et elle serait tout aussi convoitée. Leur mère était une très belle femme, tout aussi sorcière que tout ce petit monde, elle avait des cheveux bruns, mis longs, lui tombant aux épaule, ils étaient lisses, magnifiques, elle avait des yeux bleus, perçant, mais à la fois tellement doux. Cette femme était tout bonnement magnifique, mais elle était terriblement soumise à son mari, lors de la naissance de Natan (Nous l'appellerons ainsi pour ne pas que vous vous emmêliez les pinceaux vu que son père s'appelle Edeley...), elle avait à peine 38 ans, oui, ils ont commencé à vouloir un enfant très tôt... Son mari, lui, était plus âgé qu'elle, il avait déjà 46 ans, il était grand, les cheveux blonds, bouclés mais coupé très courts, des yeux verts. Dans sa jeunesse, il était un très beau garçon, mais la notoriété et l'arrogance de sa famille l'avait transformé en une sorte de terreur humaine, tiré par les cernes et la fatigue, une expression toujours plus arrogante sur le visage. Cet homme était un manipulateur, voulant toujours plus de pouvoir... A l'époque de la naissance de Natan, la famille Spencer était à son apogée, Edeley (Père), jouissait d'une grande autorité dans son travail, il prospérait dans ce qu'il entreprenait, il ne lui manquait plus qu'un fils pour être totalement sûr de lui et de sa soif de pouvoir. Et ce petit, il allait l'avoir, 6 mois après ce léger entretien, cette petite réunion de famille. Qu'elle fût son soulagement quand il vit la bouille d'un petit homme...
Mère : « Oh non, pas Edeley, non, je n'aime pas, excuse moi, mais, pas pour notre fils, tu te nommes déjà ainsi, imagine un peu, on appel notre fils et à chaque fois, on doit demander précisément auquel on veut s'adresser ! »
Père : « C'est une tradition de la famille, et puis, ce sera Edeley Junior... »
Mère : « Junior fait très familier... »
Père : « C'est moi qui décide ici ! »
Mère : « Et c'est moi... Moi... Moi qui l'ai mis au mon... monde... »
C'est devant tous les médecins que cette discussion eut lieu, et pour ne pas avoir honte de sa femme en larme, il lui laissa le droit de lui donner un troisième prénom, c'est donc ainsi que le prénom Natan fut choisi. Ses sœurs accueillirent le petit nouveau à bras ouvert, surtout la petite dernière, Jerichow. Ses deux plus grandes sœurs ne venaient que pour les vacances, car elles étaient en internat pour leur études, Embry restait toujours avec sa mère, elle ne voyait donc son frère que lorsque sa mère venait le voir, et elle était toujours occupé à toutes sortes de chose, ne pouvant pas venir autant qu'elle le souhaitait voir son fils. Jerichow, quant à elle passait tout son temps libre au chevet de son frère, un sourire narquois sur le visage... Pendant deux ans, tout ceci prospéra, la plus grande se préparait à aller à l'école de sorcellerie, Jerichow avait de plus en plus de caractère, Embry se montrait craintive, voir maladive, surtout qu'en période scolaire, elle était maintenant en internat, et Keilan ne cessait de prendre exemple sur sa grande sœur, montrant son calme, sa gentillesse, et son intelligence. Quant à Natan, pendant ces deux ans, il se montrait très calme, mais cela changea dès le départ de Renesmée...
Chapitre II ; ... Mais finalement rejeté.
A deux ans, Natan était déjà bien grand pour son âge, il avait des cheveux bruns hirsutes, et ses yeux était d'un bleu/vert tout à fait hypnotisant. Il démontrait déjà d'une grande intelligence, mais il ne semblait pas calme et gentil comme ses deux grandes sœurs. Jerichow, maintenant âgée de 6 ans, passait tout son temps avec lui, et dans sa tête de petit garçon, c'était son model. Toute la famille accompagna la plus grande à la gare, Embry tenant la main à sa mère, Natan donnant la main à Jerichow, pendant que Keilan ne quittait pas Renesmée qui poussait toutes ses valises sur le chariot, et Edeley, le père de tout ce petit monde, marchait devant, serrant la main à la plupart des gens qu'il croisait, prenant soin de présenter l'enfant de deux ans. Natan n'était captivé que par une chose, pendant tout ce temps, le train. Il ne savait pas ce que c'était, mais il voulait s'en approcher, alors que Jerichow était limite de le jeter dedans pour qu'il puisse ce que c'était, son père gronda la petite aux yeux bleus et saisit son fils par le poignet, l'éloignant de l'engin. Renesmée dans la locomotive, Natan regardait l'énorme train partir, avec toujours la même envie de monter dedans.
C'est à partir de ce moment là que les choses se gâtèrent. Jerichow apprenait de mauvaise chose à son petit frère, l'arrogance, la manipulation, les caprices, pourtant, il n'était pas comme ça dans les débuts. Son père tapait sur les nerfs du petit garçon, il lui en demandait trop, déjà, il devait savoir les couleurs, compter, parler parfaitement sans faire de faute.
Jerichow : « Que dis-tu ? »
Natan : « Papa, vilain garçon... »
Jerichow : « Ha ha ha, ha ha ha... »
Natan disait toute sorte de chose à sa grande sœur, il avait une confiance profonde en elle, c'était la seule qui arrivait à le calmer, quand il faisait un cauchemar, la seule qui pouvait le prendre dans ses bras. Mais c'était un cercle vicieux, il était devenue plus capricieux dans les bras de Jerichow, mais plus il devenait capricieux plus il la voulait elle et pas quelqu'un d'autre. Mais sa sœur était loin d'être une personne de confiance, elle n'avait qu'à peine 6 ans, mais elle savait déjà très bien joué la comédie, et aussi, elle savait très bien ce qu'elle voulait. Jerichow n'avait qu'une envie, être aimé par son père, qui la refoulait depuis le début. Chose qu'elle ne comprenait pas, elle était exactement comme lui, peut-être pas physiquement, mais leurs caractères étaient identiques. Natan était un bon prétexte pour gagner la confiance de ce grand homme. Elle alla donc rapporter tout les propos du petit garçon, car Natan lui disait tout en quoi son père l'énervait. Son père étant très susceptible, il se mit immédiatement à gronder son pauvre fils, allant même jusqu'à le frapper.
Alors que les 11 ans de Keilan approchait ainsi que son envol pour l'école, Embry, âgée de 9 ans, dû rentrer à la maison pour cause de crise d'angoisse profonde, quant à Jerichow, elle partit en internat, fière d'avoir gagner la confiance de son père, se fichant bien du sort qui planait sur son petit frère. Oui, il avait 3 ans, maintenant, pendant un an, son père l'avait grandement ignoré, mais il ne comprenait pas ce qu'il avait fait de mal, il était encore trop petit. Tout ce qu'il savait, c'est que son père lui avait fait mal en le frappant, alors, il continua ses caprices, et devenait de plus en plus comme sa sœur qui était maintenant indifférente face à lui.
Père : « Franchement, ce sale gosse ! Osé dire que son père est mauvais ! »
Mère : « Calme toi, il est tout petit ! »
Père : « Tu es de son côté ?! »
Mère : « Non, bien sûr que non... »
Elle n'osa pas dire à son mari qu'il exagérait, elle n'était pas de son côté, mais il avait frappé un enfant de deux ans. Cependant, elle avait trop peur de lui, pour l'instant, il ne s'en était jamais pris à elle, mais elle savait sa violence. C'est ainsi que son père, homme puissant et sans scrupule, finit par punir son pauvre fils de trois ans qui ne comprenait pas vraiment ce qu'il lui arrivait. Car même si on ne comprend pas les mots, on ressent la façon dont cela est dis. La punition prit forme une fois le départ de Keilan et de Jerichow, ne cherchant que le réconfort de sa mère, Embry ne bronchait pas devant cette punition. Et sa mère craignait trop son mari pour oser bouger...
Dernière édition par Edeley J. N. Spencer le Mer 22 Juil - 21:06, édité 10 fois | |
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| | Sujet: Re: Edeley J. N. Spencer Mar 21 Juil - 18:26 | |
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Chapitre III; Petit ange dans le noir.
Nous en venons donc à cette punition, soit disant passant digne de son père. Après avoir été humilié par son fils, comme il le dit, Edeley Senior décida qu'il était temps pour son fils de savoir ce qu'était un monde sans personne, ou personne ne répond à ses caprices, ou personne n'est là pour se faire amadouer. Enfin le raisonnement de Monsieur Spencer n'allait pas jusque là, il voulait juste le faire souffrir, le laisser croupir seul dans sa chambre, voir même dans un placard... A à peine 3 ans, voilà qu'il est enfermé dans un placard, sa première journée fût une horreur, on ne lui donna pas à manger, personne ne venait lui parler. Il était complètement seul dans le noir... Pendant une semaine, on le laissa croupir ainsi, lui apportant un seul repas par jour. Il passa sa première journée à pleurer, il n'appelait pas, parce qu'il ne savait pas qui appeler. Sa mère ? Il ne la voyait que très peu depuis sa naissance, certes, elle passait du temps avec lui, pourtant, ses souvenirs d'elle étaient tous mornes et flous. Embry ? Il ne la connaissait encore moins que sa mère, elle n'était jamais venu le voir de son plein gré, toujours dans les pattes de sa mère, il ne la connaissait, pour lui, c'était une étrangère, ce n'était pas sa sœur. Jerichow était partie, et il ne comprenait pas qu'il n'avait jamais rien représenté pour elle. Son père ? C'était lui qui l'avait enfermé, c'était lui qui l'avait frappé, et c'était lui que détestait le plus au monde ce petit bonhomme. Donc, le premier jour, il ne fit que pleurer, pleurer, hurler, puis, le deuxième, il finit par ne plus pouvoir, il commença à craindre cet endroit clos, le silence qui y régnait, l'obscurité qui couvrait tout le placard. Pendant une semaine, il resta cloitré dans ce petit placard qu'on avait vidé pour qu'il puisse couler dedans, assis et recroquevillé sur lui même, il avait des crampes dans le coup et dans les jambes, il avait sans cesse mal au ventre, mal à la tête, sa gorge était sèche même si on lui apportait le minimum pour qu'il survivre. A chaque fois, c'était le visage de son père qui apparaissait et lui tendait sans la moindre délicatesse de quoi manger et de quoi boire, à chaque fois, la maigre lumière qui passait par l'entrebâillement lui brulait les yeux et l'empêchait de voir pendant plusieurs minutes. Il était faible, et quel fût son soulagement qu'une semaine plus tard on le changea de prison.
Elle était déjà plus spacieuse, plus chaleureuse, même si il faisait tout aussi noir, tout aussi froid. Natan pouvait dormir sur un lit, bouger. Cependant, il remarqua rapidement que quelque chose n'allait plus bien chez lui, il avait peur, il tremblait quand il regardait les coins plus sombre que le reste de la pièce, il avait beau s'acharner sur l'interrupteur, jamais la lumière ne s'allumait. Son père avait donc décidé de le mettre dans sa chambre maintenant, il était toujours aussi seul, il faisait toujours aussi noir, on le nourrissait toujours un minimum, personne ne venait le voir, lui, pauvre enfant de trois ans. Comment pouvait-on lui faire subir ça ? A un enfant. Natan eu rapidement des crises d'angoisse dans cette chambre sombre, personne venait le réconforter, il restait seul avec sa rancœur, à se répéter dans sa tête de petit garçon que son père devait mourir. Les crises d'angoisse laissèrent place au crise de nerfs, il finit par ne plus avoir tellement peur de cette chambre, mais plutôt énervé qu'on le laisse croupir ici, sa haine se renforçait de jour en jour. Il écoutait derrière les portes et les murs pour entendre les conversations des gens, continuer son apprentissage de la langue, cependant, il était maintenant moins doué qu'un enfant de son âge.
Tout ceci, l'angoisse, la colère, la haine, tout ceci se déroula sous un espace de trois ans. A 6 ans, on le sortit enfin de sa prison. Renesmée ainsi que Keilan réussissaient parfaitement leurs études à l'école, cela faisait un an qu'Embry y était également, et elle semblait s'être détendue, un peu moins craintive. Jerichow, contre toute attente, se tenait à carreaux dans son internat, elle était devenue très appréciée de son père, elle avait donc réussit à avoir ce qu'elle voulait. On l'avait sortit de sa prison pour qu'il aille à l'école, ne sortant de sa chambre que pour y aller. Il rattrapa très rapidement son retard. Rusé et manipulateur, il arrivait à chaque fois à piquer des choses à ses camarades pour s'amuser quand il retournait dans sa prison. Et c'est à ce moment là qu'il commença à jouer les petits anges, comprenant que les caprices marchaient beaucoup moins. Il ne voyait jamais ses parents, car c'était toujours une servante qui s'occupait de lui, elle allait simplement le chercher à l'école, elle l'y amenait, et elle lui apportait ses repas. Il comprit rapidement les ficelles du mensonge et de la manipulation, un vrai petit génie. Cependant, même si il était d'un comportement exemplaire, son père se moquait toujours bien de lui, et Natan ne souhaitait que attirer son attention, pour mieux exploser devant lui. Il avait comprit que cela ne servait à rien d'exploser si il n'était pas présent, mais voilà, il n'était jamais présent. Deux se passèrent, sortant pour aller à l'école, s'occupant dans sa chambre, succombant à des crises d'angoisse et de nerfs parfois, à l'école ou seul. Aucune de ses sœurs ne cherchaient à venir le voir, mais il avait appris à les considérer comme des étrangères, tout comme sa mère. Son père, c'était plus une sorte de rival, il voulait être exactement comme lui pour le surpasser... Et à 8 ans, il se passa enfin la chose qu'il attendait...
Chapitre IV ; Comme Papa Maman.
8 ans, c'est à 8 ans que la magie pointa enfin le bout de son nez dans ses veines. Comment il s'en rendit compte ? Parce qu'il réussit à faire sonner la cloche de l'école comme quoi c'était la récrée. Oui, Natan n'avait pas été envoyé dans un internat, pourquoi ? On ne le saura sûrement jamais. Cependant, c'est à l'école qu'il sentit enfin qu'il devenait plus puissant, à force de vouloir ressembler à son père pour le surpasser, il était devenu un vrai clone, et il aimait ce caractère. Il s'ennuyait en classe, il avait rattrapé son retard, la vieille folle qu'il avait pour maitresse divaguait sur la politique moldu du moment, et dans sa tête ne résonnait que le mot « récrée ». Alors la cloche sonna, et la maitresse, ne prenant pas la peine de regarder la pendule, laissa ses élèves sortirent. Quelques classes avaient fait de même, et avant que le proviseur ne réussisse à tout remettre en place, les élèves avaient profité d'une récrée de plus. Il rentra le soir très fière de lui, et le fait que la magie soit enfin apparue lui procurait une excuse pour aller voir son père, cependant, comment amadouer la servante moldu et faire qu'elle l'amène à son père ? Ce fût plus simple qu'il n'y aurait jamais pensé. Pour venir lui apporter son repas, ce n'était pas la servante. La jeune demoiselle de 10 ans se présenta comme la fille de la servante, elle avait des cheveux châtains presque blonds, lisses, très longs, mais attachés en un chignon, chose qui déplut tout de suite à Natan, il préférait voir les filles les cheveux détachés. Mais il l'accueillit avec son plus beau sourire, cette fille aux yeux bleus ciels, presque transparent, son air renfrogné, ses lèvres, si attirantes...
Juliet : « Alors c'est toi, le gamin que tout le monde rejette ? »
Natan ne releva pas, tout ce qu'il voulait, c'était allé voir son père, mais elle semblait avoir plus de caractère qu'il n'y paraissait. Cependant, il réussit sans trop de mal à la forcer à le faire sortir. Comment s'y était-il prit ? Il avait juste mentit qu'il avait le droit, de prendre l'air un peu, sa mère ne l'avait apparemment pas assez informé sur son cas. Il n'allait pas s'en plaindre, elle lui était indifférente, elle se ferait taper sur les doigts quand quelqu'un l'apprendrais mais il n'en avait que faire, comme d'habitude, il était égoïste et il n'y voyait que le profit personnel. Elle avait donc déposer son repas sur la grande table en bois qui trônait au milieu de la pièce, et lui disant qu'il mangerait froid mais que ce n'était pas son problème. Apparemment, cette petite fille avait beaucoup de caractère, et elle semblait ne pas apprécier se trouver dans cette maison. Elle lui demanda suspicieusement si elle devait rester avec lui, tout le temps de sa soit disant sortie, et il lui répondit que ce n'était pas la peine, qu'il allait retourner dans sa chambre dans peu de temps et qu'elle n'aura qu'à venir le renfermer, de toute façon, il ne pouvait pas aller plus loin que le jardin qu'il serait déjà repérer. Elle haussa les épaules, apparemment soulagée de ne pas devoir resté avec lui, contente d'être libérée, et elle repartit rapidement, chantonnant un air inconnu au jeune homme, celui-ci ne la regarda même pas partir. Ses souvenirs de la maison étaient très vagues, et il n'avait aucune idée de l'endroit où pouvait se trouver ses parents. Son air arrogant sur le visage, il déambulait dans les couloirs dans la grande maison blanche. Pourquoi vouloir absolue voir son père parce qu'il venait de découvrir ses pouvoirs ? Pour montrer à son père la ressemblance de plus qu'il y avait entre eux... Son raisonnement était profond, alors qu'il n'avait que 8 ans, pourtant, au niveau de la maturité, il faisait beaucoup plus. Il ne craignait pas de tomber sur l'une de ses étrangères de sœurs, elles étaient toutes à l'école de sorcellerie. Il tourna au coin d'un couloir, et entendit des bruits venant d'une pièce sur la droite, la porte était grande ouverte, et il n'eut pas de mal à prendre le fil de la conversation...
Père : « C'est de pire en pire, ma notoriété baisse d'année en année, depuis que ce gosse est né... »
Mère : « Calme toi... »
Père : « Qu'allons nous faire de lui ? Il devrait bientôt découvrir ses pouvoirs...»
Mère : « C'est très bien, une fois à Poudlard, comme ses soeurs, nous serons tranquille, juste pendant les vacances, ce sera un fardeau en moins, elles rentrent toutes bientôt pour les vacances. C'est la fin d'année pour Renesmée, nous allons bientôt pouvoir la marié au fils de ton ami, elle la notoriété de notre famille remontera... Il suffira de demander à Natan de quitter cette maison une fois ces études finis... »
Natan eut un sourire narquois face à cette réponse, trop tôt, c'était bien trop tôt pour qu'il se venge, il devait rester après ses études à l'école, pour bien enfoncer le couteau dans la plaie, pour lui montrer comment il deviendra meilleur que lui. Il avança et entra dans la pièce, grand bonhomme de 8 ans aux cheveux bruns et hirsutes, ses yeux bleus/verts directement dans ceux de son père. La surprise de sa mère ne dépassait en rien celle de son père qui pointa un doigts accusateur sur son fils.
Père : « Que fais-tu ici ?! »
Natan : « J'assoupis ma vengeance, je suis totalement comme vous, maintenant... »
Comme pour prouver son affirmation, poussé par la haine et la violence qui bouillonnait en lui, il démontra ses nouveaux et faibles talents, la faible lampe du bureau prit feu. Sa mère, comme sous le choc de voir son fils ici, alla hurler la servante de venir tout de suite la voir. Son père éteint la faible flamme d'un coup de baguette et lança un regard accusateur à son fils. Avant que Natan ne puisse réagir, des bras lui entourèrent la taille et il fut soulevé du sol, pour aussi être reconduit dans sa chambre. La servante était venu le chercher, et elle était suivie par sa fille, dernier visage qu'il vit à pendant trois mois...
Dernière édition par Edeley J. N. Spencer le Mer 22 Juil - 21:32, édité 5 fois | |
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| | Sujet: Re: Edeley J. N. Spencer Mar 21 Juil - 18:26 | |
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Chapitre V ; Une chose nouvelle, mais finalement pas plus intéressante...
Il ne vit pas ses sœurs de l'été, il ne termina pas le dernier mois qui lui restait à l'école. Il était en quelque sorte privé de sortie, même si cela ne changeait pas beaucoup d'avant puisqu'il ne sortait que pour aller à l'école. C'était de plus en plus la fille de la servante qui venait lui apporter ses repas. Elle était toujours aussi désagréable, apparemment, elle s'était fait tout aussi enguirlander que lui. Mais elle lui était indifférente, il n'en avait que faire de ses petits soucis, elle le dérangeait, il ne voulait que s'entrainer à maitriser ses pouvoirs qui faisaient toujours des dégâts lors de ses crises d'angoisse et ses crises de nerfs soudaine. Pourtant, il ne cessait de se demander quand combien de temps elle pousserait la porte avec toujours son air méchant et vexé, et non pas parce qu'il attendait son repas. Mais jamais il ne lui adressait un regard, il faisait semblant de vaguer à ses occupations. Il passa donc trois mois enfermé dans sa chambre, à s'occuper comme il le pouvait, puis, une fois son anniversaire passé, il eut le droit de retourner à l'école. Mais ce n'était plus la servante qui l'emmenait, c'était Juliet, qui, apparemment, allait au collège juste à côté. Alors qu'il ne disait rien à chaque voyage de la maison blanche à l'école, il épiait à chaque récrée la demoiselle. Le collège se trouvait de l'autre côté de la route, la cour était grande, et les grilles étaient fines, elles permettaient une parfaite vue sur l'ensemble de l'établissement et l'extérieur. Alors que l'école où se trouvait le jeune homme était entouré de murs en béton qui faisaient muraille, il n'avait qu'à se poster à la grille pour admirer le tableau des jeunes adolescents de l'autre côté de la route. Pourquoi l'épiait-il ainsi ? Il n'en savait, pour lui, elle n'avait aucun profit, elle ne pouvait rien lui apporter, et elle semblait le détester tout particulièrement. Cependant, plus le temps passait, plus il passait de temps devant la grille, l'ignorant complètement quand elle était tout près de lui pour rentrer à la maison ou aller à l'école. Pourtant, ce n'était en rien de la timidité... Elle avait 2 ans de plus que lui, il la trouvait belle, mais sans plus, rien ne l'intéressait chez elle. Plus il y réfléchissait, plus il se torturait l'esprit, et il ne comprenait pas que le mécanisme était en marche. Car plus il se demandait pourquoi il pensait, plus il pensait à elle.
Natan était le roi de la récrée, il avait déjà mis dans son sac tout les petits enfants de sa classes et des classes inférieurs, certains plus âgés que lui lui résistaient encore. Cependant, il continuait de se comporter comme un petit ange, tout le monde ne voyait que ce qu'il voulait bien montré, et donc que des choses fausses. Mais un jour, un plus grand, l'un des « résistants », lui fit un mauvais tour, il l'enferma dans les toilettes, et la crise d'angoisse se fit sentir. Cloitré, il ne le supportait plus, ce n'était pas vraiment de la claustrophobie, car si lui même avait décider de s'enfermer dans un placard, il ne faisait en aucun cas une crise. Le proviseur appela ses parents qui ne pointèrent jamais le bout de leurs nez, et Juliet récupéra comme à son habitude le jeune homme à la sortie de l'école. Elle dû cependant entendre tout les propos du directeur qu'elle devait rapporter aux parents du garçon, et elle récupéra un Natan de mauvaise humeur. Ce petit incident ne poussa en aucun cas la demoiselle à être plus douce avec lui.
Juliet : « Tu as encore voulut te faire remarquer, hein ?! »
Natan ne relevait jamais ses propos blessant, il se contenta de lui lancer un regard mauvais avant de presser le pas. Le soir, la jeune fille lui apporta son repas, et elle multiplia les injures sur son comportement. Rien ne semblait le toucher, il ne lui répondait jamais, pourquoi ? Parce que le menteur professionnel sait reconnaître quand les autres mentent, et elle ne faisait que mentir, non pas dans ses propos, mais dans ses gestes. Elle tentait de se montrer comme lui, de jouer un rôle, celle de la fille blasée d'un tel garçon, pourtant, il savait à quel point elle était intriguée par lui. Et ça, ça lui plaisait, plus le temps passait, plus il se délectait de cette relation, de savoir que quelqu'un pensait à lui. Il était sûr de ne pas se tromper. Mais pendant un an, il resta dans la même position du garçon indifférent, alors qu'elle s'impatientait de plus en plus de se savoir ignoré. Un matin, il fût très surpris de voir le visage de la servante lui apporter son petit déjeuner, il remarqua qu'elle avait vieillit et prit conscience que cela faisait quand même pas mal de temps qu'il ne l'avait pas vu. Cependant, il ne s'inquiéta pas, s'attendant à voir le visage de Juliet au moment d'aller à l'école. Mais non, même pas. Il épia tout le temps de chaque récrée à la grille, mais jamais il n'aperçut ses cheveux presque blonds, son regard glissant doucement vers l'école, pour se détourner dès qu'elle le voyait. Elle n'était pas là... Pour la première fois, une vague d'inquiétude l'envahie, et il n'échappa pas à une de ses crises d'angoisse. Il était fou de se savoir comme ça, pourquoi tant d'inquiétude pour elle ?! Il était encore tremblant quand la servante passa le chercher, et il finit par manquer de la frapper pour qu'elle lui dise où était Juliet. Oui, après la crise d'angoisse, la crise de nerfs suivit rapidement, et elle ne voulait pas répondre à ses questions, il ne fallait pas s'étonner qu'il s'énerve. Elle l'emmena là où il ne voulait pas aller, à l'hôpital, et dans la chambre blanche, le corps brûlé d'une jeune fille reposait, les machines mesurant son faible rythme cardiaque. Sa mère expliqua au garçon que la maison des domestiques avait pris feu la nuit dernière, et qu'il n'avait rien remarqué parce qu'elle se trouvait dans la foret au fond du grand jardin de la maison blanche. Vous vouliez savoir pourquoi il n'ose plus toucher les filles ? Parce qu'il est hanté par l'image de la peau brûlée de la demoiselle. Pourtant, elle ne le dégouta en rien, il avait pitié d'elle, elle n'avait pas mérité cela. En accord avec la servante, il négocia le passage à l'hôpital trois fois par semaine, chaque fois qu'elle devait aller faire des courses, elle prétendait l'emmener avec lui, ce qui arrangeait ses parents. Dans le coma, Juliet paraissait tellement paisible que Natan avait honte de se trouver devant elle... Il passait l'heure où il se trouvait à son chevet à raconter tout et n'importe quoi, des choses qu'il pensait pouvaient l'intéresser, il lisait, faisait ses devoirs. Et trois semaines plus tard, elle se réveilla, mais il dû attendre une semaine de plus pour que les visites soient de nouveau autorisées. Il alla donc à l'hôpital après les cours, mais elle fût tellement horrifié de le voir dans sa chambre qu'elle fondit en larme. Elle lui hurla de sortir, et il fût trainer dehors par un infirmier qui prétextait qu'elle devait se reposer. Natan se sentit briser, il n'avait plus le droit d'accès à sa chambre car elle piquait une crise à chaque, il était interdit de visite. Il allai bientôt devoir partir à Poudlard, et sa vie semblait bien morne... Puis, il finit par décider de ne plus se morfondre, à quoi bon, il effaça la demoiselle de ses souvenirs, comme elle était apparue dans ses pensées, la seule image d'elle qu'il avait dans la tête était la couleur brûlée de sa peau... L'amour, plus pour lui... Cela s'était fait sur un coup de tête, mais il valait mieux non ?
Chapitre VI ; Et on retrouve ses sœurs...
Natan avait donc maintenant 11 ans, et il entrait à Poudlard. Il avait fait ses courses au chemin de traverse avec sa mère, et contre toute attente, ils ne lui achetèrent pas de chose à prix bas, comme il s'y était attendu. Il voulait sûrement ne pas avoir honte, il portait toujours le nom de Spencer. Alors, il avait une magnifique robe de sorcier, des livres flambants neufs, ils lui avaient même permis de prendre un balai, alors qu'il ne savait même pas si il allait s'en servir. Le plus périlleux fût la baguette et le choix de l'animal. Il avait vaguement entendu une conversation entre sa mère et une de ses amies qui disait que le choix de la baguette se faisait la plupart du temps assez rapidement. Mais ils passèrent une heure dans la boutique. Déjà, le jeune homme ne savait pas de quel main tenir sa baguette, car il était ambidextre, puis le vendeur semblait fatiguer alors il prenait son temps. Des tonnes et des tonnes de baguettes lui tombèrent entre les doigts, des courtes, des longues, des belles, des moches, tous les bois y sont passés, des vertes et des pas mûrs. La lèvre du garçon saignait, il s'était tordu le poignet gauche, la robe de sa mère était déchirée, et le bureau du vieil homme avait explosé. Puis, finalement, on avait trouvé son bonheur, son âme sœur, petite branche de bois. Ça avait été clair et net, la baguette était le prolongement de son bras, sous contrôle, la puissance passait à travers ses veines. Alors, on l'avait rangé et fourré dans le sac avec le reste des affaires. Puis, l'aventure continuait pour le choix de l'animal. Ce qui ne fût encore une fois pas une partie de plaisir, des tas d'animaux dans les bras, il se devait de faire un choix rapidement, mais pourtant, aucun ne lui convenait, ne lui correspondait... C'est alors qu'une belette, toute blanche sauf le museau, se débattait pour échapper aux bras d'une petite fille l'écrasant contre elle. Natan décida que c'était cet animal qu'il voulait, mais ce ne fût pas une partie de plaisir de convaincre la petite fille de lui laisser. Mais il usa de sa ruse, de son adresse et de son charme pour obtenir England, la petite belette blanche.
Une semaine plus tard, il se trouvait dans le Poudlard Express, tout comme plein d'autre enfant, ainsi que ses soeurs. Embry fit tout comme elle ne le connaissait pas, alors que Jerichow lui adressa un sourire narcissique, s'enveloppant dans les bras d'un garçon. Il se trouva un wagon vide et vagua à ses occupations jusqu'à ce qu'une demoiselle vienne l'embêter et lui poser des tas de questions. Natan ne changeait pas de l'époque de l'école de moldu, il joua son rôle d'ange, à la perfection, et son wagon grouilla rapidement sous les demoiselles. Il prenait soin à chaque fois de se placer à une distance respectable, pour ne pas que leurs peaux se touchent, l'image de Juliet encore dans son esprit. Déjà, en descendant du train, une multitude de jeune fille continuait de le harceler de question, et lui répondait toujours poliment. Cependant, il fût très soulagé quand le silence fût demandé une fois dans la grande salle. La répartition, il savait déjà dans quel maison il allait aller, et il ne voulait en aucun cas aller dans une autre. Alors il rejoignit rapidement ses sœurs à la table des Serpentard. Les premiers jours se passèrent sans encombre, il voyait en tout le monde un profit personnel, et il se trouva rapidement une passion dans le Quidditch. Il était content d'être ici, le lieux lui permettait de ne plus du tout pensé à Juliet, et il savait qu'il surpasserait son père, ici, en s'entrainant. Il n'y avait jamais de faille dans son jeu... Pendant sa première année, il ne parla que très peu à ses sœurs, mais il en avait marre des sourires narquois de Jerichow. C'était la dernière année de Embry, mais il s'en contrefichait. Il la perdit rapidement de vu, ne cherchant même plus à savoir où elle était et ce qu'elle faisait... Il fit donc deux années avec Jerichow, et ils finirent par avoir un accrochage, mais rien de bien grave, quelque chose qui fit qu'il ne pouvait plus se voir. Il donnèrent du fil à retorde à tous les professeurs à se battre dès qu'ils le pouvaient... Cependant, une fois sa sœur partie, il put pleinement joué son rôle de petit ange...
Dernière édition par Edeley J. N. Spencer le Mer 22 Juil - 23:14, édité 6 fois | |
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| | Sujet: Re: Edeley J. N. Spencer Mar 21 Juil - 18:26 | |
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Chapitre VII ; Sortilège, et tout recommence...
Il se vexa terriblement du sortilège, et les mois qui suivirent laissèrent place à sa mauvaise humeur. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il avait perdu des tonnes de bénéfices, il en était sûr, des tas de profits personnels partis en fumée. Maintenant, il devait tout recommencé, pour sa dernière année à l'école... Il se garda bien de divulguer tout ça, premièrement parce que cela faisait partit de son rôle, et deuxièmement, car c'était tout des même des gens de sa maison qui avait fait ça. Mais il fulminait contre eux. Heureusement qu'il n'était plus à l'école après le sortilège et que les vacances permirent de le calmer. Car il ne pouvait se permettre de faire des crises de nerfs à tout bout de champs devant des potentiels profits. Il avait été peu motivé de retourner à Poudlard cette année, devoir tout reconstruire, il avait l'impression de s'enfoncer dans de l'inconnue. Il avait peur de sympathiser avec une personne qui n'en valait pas la peine et qui était une ennemie avant, et vice versa. Cependant, il arriva tout de même avec son visage d'ange...
Voilà un petit récapitulatif des âges de Edeley et de ses soeurs tout au long des chapitres. C'est juste histoire que vous vous y retrouviez (Moi j'avais trop de mal xD) Je n'ai pas mis le dernier chapitre puisqu'on entend plus parlé d'elles ^^
Chap 1 : Renesmée = 9 ans, Keilan = 8 ans, Embry = 6 ans, Jerichow = 4 ans
Chap 2 : R = 11 ans, K = 10 ans, E = 8 ans, J = 6 ans, Natan = 2 ans
R = 12 ans, K = 11 ans, E = 9 ans, J = 7 ans, N = 3 ans
Chap 3 : R = 12 ans, K = 11 ans, E = 9 ans, J =7 ans, N = 3 ans
R = 15 ans, K = 14 ans, E =12 ans, J = 10 ans, N = 6 ans
R = 17 ans, K = 16 ans, E = 14 ans, J = 12 ans, N = 8 ans
Chap 4 : R = 17 ans, K = 16 ans, E = 14 ans, J = 12 ans, N = 8 ans
Chap 5 : R = 18 ans, K = 17 ans, E = 15 ans, J = 13 ans, N = 9 ans
R = 19 ans, K = 18 ans, E = 16 ans, J = 14 ans, N = 10 ans
Chap 6 : R = 20 ans, K = 19 ans, E = 17 ans, J = 15 ans, N = 11 ans
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| | | | Edeley J. N. Spencer
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| | Sujet: Re: Edeley J. N. Spencer Mer 22 Juil - 23:37 | |
| Et voilà, j'ai FINIT ma fiche avant mon départ en vacances !
J'espère qu'elle ne va pas vous ennuyer T_T | |
| | | | Jordan Payne
Piaf, enchaînée à son passé
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| | Sujet: Re: Edeley J. N. Spencer Sam 25 Juil - 10:12 | |
| Re bienvenue xD C'est pas un gentil le Edeley >< mais en même temps, y'a de quoi en vouloir au monde entier xD J'aime aussi ce côté grand séducteur qui n'a pourtant jamais touché une fille, ça m'a fait bien rire xD Bref, je te valide ! Tu connais la maison, alors je te laisse créer tes fiche  | |
| | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: Edeley J. N. Spencer | |
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| | | | | | Edeley J. N. Spencer | |
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